La recommandation d’une agence indépendante d’État, l’ANESM, a l’ambition de substituer son Éthique-de-47-pages et son évaluation à la formation et au contrôle des professionnels. De quels cas pratiques pouvons-nous illustrer son application ?
Quand l’addictologie se moque d’elle-même
Dans sa dernière lettre, les "nouvelles scientifiques du Village des addictions", le Pr Michel Reynaud,, célèbre addictologue, se fait l'écho d'une publication neuro-scientifique. Il avoue : "la secrète tendresse [qu'il] éprouve pour les paradis artificiels de...
Psychologue référente bientraitance H/F !
Une annonce bien de l’époque !
Compte-rendu de la conversation du 2 juin 2014
Deux textes sur le thème de la « Bientraitance » et un cas clinique ont été mis à la conversation ce 2 juin.
Point de chute et rechute
Il est préconisé qu’un juste équilibre soit donc réfléchi par les professionnels et l’usager en tenant compte tout aussi bien des risques d’institutionnalisation des personnes accueillies trop longtemps, que des risques de rechute ou de précarisation très rapide des usagers dont l’accompagnement a été trop tôt interrompu.
Présentation d’une Recommandation de l’ANESM : La bientraitance
Ce document a été produit en 2008 par l’ANESM (agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux) en tant que « recommandation de bonnes pratiques professionnelles ».
Bientraitance, j’écris ton nom
Comment prendre en compte, mesurer et traiter, dès lors, le trébuchement habituel du discours, les bégaiements réguliers de l’acte, s’ils ont été, dès avant même, dans le processus d’idéalisation en cause, sanctionnés comme maltraitance ?
« Une institution transformée par la pratique de la bientraitance sera-t-elle jamais plus capable de prendre en compte, traiter et prévenir ses inévitables ratés ? » Pierre Sidon, Victimes de la bientraitance, site addicta.org