Conversation du 13 janvier 2020 :

On dit que s’il y a des femmes addict(e)s, l’addiction féminine revêt des traits spécifiques. Conformément à l’orientation de nos Conversations, ce qui nous intéressera c’est bien plutôt la féminité que l’addiction, les sujets plutôt que les appareillages de la jouissance qui les spécifie comme êtres parlants. Pour ces sujets : en quoi leurs consommations ont-elles pris place dans la dimension essentiellement féminine de l’être ? de leurs existences ? Vivement janvier ! 

Avec Mathilde Braun et Pierre Sidon

Renseignements et inscriptions : c’est ici >