Un article intéressant du Figaro madame :
« Héros romantique du rock britannique, le chanteur et guitariste ravive sa flamme et revient avec un triptyque époustouflant : un doc sur sa vie artistique et ses adieux à la drogue, un livre autobiographique et, après 9 ans de silence discographique, un nouvel album du groupe The Libertines.
Un soir d’août 2015, en clôture du festival Rock en Seine, Peter Doherty monte sur scène d’un pas vacillant, le teint blafard, les pupilles dilatées. Derrière lui, un grand drapeau à l’effigie des Libertines. Le légendaire groupe britannique, fondé en 1997 par le chanteur et guitariste avec son acolyte Carl Barât, vient de se reformer. Les fans exultent, cependant sa voix est frêle, plus enfantine que d’habitude. La silhouette est alourdie, le chapeau est de travers, et pendant qu’il tente d’empoigner une bouteille de vin rouge posée au sol, le regard du chanteur s’échappe dans le vide. Un malaise traverse la salle : comme l’étrange sensation d’être face à Amy Winehouse, quelques années auparavant, peu avant son épilogue déchirant, en 2011. L’héroïne, le crack, la cocaïne et l’alcool ont pris le dessus sur le dandy rock aux allures rimbaldiennes. »
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