Il savait qu’il devait plier les genoux pour réussir l’épreuve. Mais il avait oublié de le faire. Il s’en rend compte pendant l’exercice mais il décide de rester « cohérent » et pour cela de persister dans son erreur jusqu’au bout.
Cette passion de la cohérence, c’est cela même le nom de sa forme de folie, s’il en est.

Elle fait de lui un être heureux, mais un être toujours décalé, voire ici recalé.

Le névrosé, au contraire, c’est l’être incohérent par excellence. Mais son incohérence le lie aux autres.